Il existe de multiples financements ; ils dépendent de la situation professionnelle de chacun. On peut schématiquement les résumer ainsi :

• Pour les salariés du privé : l’OPCO de la société, l’entreprise en direct ou encore le CPF
• Pour les salariés du public : des budgets formation spécifiques à leur administration, ou leur CPF, avec l’aval de leur hiérarchie
• Pour les travailleurs non-salariés : le Fonds d’assurance formation ou le CPF
• Pour les artisans : le FAFCEA ou le CPF
• Pour les personnes en recherche d’emploi : France Travail

Le Compte Personnel de Formation (CPF) s’étant largement démocratisé, les futurs apprenants sont souvent focalisés sur le fait de l’utiliser. Or, ce n’est pas toujours judicieux.

Avantages du CPF : liberté d’utilisation. Inconvénients : reste à charge de 104 €, examen de fin de formation obligatoire, enfin il existe des restrictions telles que l’impossibilité pour un débutant de candidater pour une formation en langues.

Aussi, il est par exemple plus judicieux pour un non-salarié débutant ou faux-débutant dans la langue d’apprentissage souhaitée de solliciter d’abord son Fonds d’Assurance Formation avant d’utiliser son CPF, de façon à décaler la date de passage de l’examen de fin de formation, obligatoire.

Enfin, les salariés ayant par exemple besoin d’un perfectionnement en langues dans un cadre complétement professionnel ont tout intérêt à solliciter leur employeur, pour un financement de leur formation via l’OPCO de la société ; ou bien, si c’est par le biais de leur CPF, dans ce cas, nous leur conseillons vivement de demander à leur employeur d’abonder, via une dotation volontaire : https://financeurs.moncompteformation.gouv.fr/actualites/dotation-volontaire-comment-participer-au-financement-dun-projet-de-formation-de-vos

Pour tout conseil gratuit au sujet des financements possibles des formations : écrivez-nous à l’adresse direction@taketheplunge.fr : nous serons ravis de vous aider à effectuer les meilleurs choix !